Aborder quelqu'un dans la rue

  • Je ne saurais te repondre , je n'aborde jamais quelqu'un dans la rue dans un contexte de drague . Il y'a toujours le risque que le mec ne soit pas gay voire homophobe . A moins d'avoir un gay radar exceptionnel... Ou alors qu'il soit grillé look ou gestes) mais là cela m'attirerait beaucoup moins :p .
  • @Hakim C'est vrai que dans la réalité tu angoisses à l'idée que le mec que tu envisages d'aborder ne soit pas gay et surtout qu'il puisse mal réagir à ton approche. Quand tu y réfléchis, c'est complètement idiot car c'est une démarche extrêmement courageuse et positive. La personne devrait au contraire s'en trouver flattée peu importe son orientation sexuelle.

    Du coup, moi un peu comme toi : je m'abstiens quand je ne sais pas... Si au contraire mon gaydar fonctionne plutôt bien ce jour-là, ce qui va m'arrêter n'est pas la peur du râteau mais plutôt de ne pas savoir quoi dire, de balbutier et de passer pour un attardé, hahaha !
  • >> Pour ceux qui ne l'ont jamais envisagé : quelle en est la raison ?

    N'ayant jamais habité dans une grande ville, je pense qu'aborder quelqu'un en public dans un village ou un ville de petite taille c'est trop risqué. Imaginons que j'aborde -par mégarde- un hétéro, et même s'il réagit bien, il peut très bien raconter l'anecdote à son entourage et de fil en aiguille ça peut rapidement arriver aux oreilles d'une personne mal intentionnée (non, je ne suis pas paranoïaque).
    C'est la principale raison me concernant.
  • Le fait de ne pas savoir si l'autre personne est gay est un mur quasi infranchissable pour moi, donc dans 95% des cas.

    Il m'est arrivé à plusieurs reprises cependant de rencontrer des gens dans la rue ou dans des bars, mais généralement je me fais accoster et je ne sais pas trop comment réagir dans ces moments là. Surtout que la majorité d'entre eux me proposait directement du cul.

    Quand c'est moi qui accoste, ce qui est très rare, c'est seulement s'il y a eu des échanges de regard suivis de larges sourires (ou si c'est dans la rue directement et que je suis en mouvement, si le mec et moi-même nous retournons par exemple). Dans ce cas précis, il y a assez peu d'ambiguïté donc je suis plus à l'aise pour entamer la conversation. Mais je n'aime pas trop les trucs trop furtifs, c'est presque impossible de vraiment engager avec un inconnu et ensuite ça nous reste en tête parce qu'on aurait aimé avoir eu le courage de faire quelque chose, mais au final je pense qu'on aurait réagit à nouveau de la même façon.

    Je me souviens avoir passé 3 heures de train à échanger des regards avec un très beau garçon à quelques sièges de moi, quand mon arrêt est venu, j'ai posé ma carte de visite sur sa table et je lui ai souhaité un bon voyage. Il m'a rappelé mais nous ne nous sommes pas revus, il était étranger ^_^

    Voilà voilà... Donc je n'ai pas vraiment de conseils et je ne suis pas vraiment sûr qu'il y en est (ce n'est pas comme si tu allais lire les tuto "9 conseils pour devenir un allumeur urbain" 8) :D ). Je crois que ce sont les situations qui permettent vraiment de créer les conditions pour que cela se produisent.
  • Personnellement, de base, je n'entame que très rarement des discussions avec des inconnus surtout que je ne suis pas quelqu'un de très loquace de prime abord, alors en aborder dans la rue ou ailleurs... Au jour d'aujourd'hui, ne serait-ce qu'amicalement, ça ne risque pas d'arriver. Après, je me dis qu'avec tout le chemin que j'ai fais au cours des 6 dernières années pour combattre ma timidité (maladive) peut-être qu'un jour je pourrais m'y essayer.
    Par contre, je pense que ce ne sont pas les occasions qui m'auraient manqué de me lancer, non pas dans la rue, mais sur mon lieu de travail. Même si ce n'est pas vraiment l'endroit pour ce genre de chose. Je croise énormément de mecs et à plusieurs reprises, j'en ai remarqué certains qui passaient beaucoup de temps à m'observer ou me dévisager avec le sourire. En particulier lorsque je suis à la vente. En général quand ça arrive, je chope rapidement chaud et je bafouille, j'oublie le nombre de tranches de jambon qu'il m'a demander, etc... Et ça la fout mal. :(
    Je leur renvoie quand même quelques sourires, j'essaie maladroitement de faire un jeu de regard (difficile quand on bosse quand même) mais ça s'arrête toujours là.
    Ce qui me bloque, c'est que j'ai toujours la peur que ce que j’interprète comme de l’intérêt de la part de ses gars, ne soit en fait que de la "moquerie". Parce que depuis mon adolescence, j'ai toujours attiré l'attention de gars ou de fille, mais pour de mauvaises raisons, entre autre mon apparence physique ou ma façon de m'habiller à l'époque, qui leur donnaient surtout envie de se foutre méchamment de moi. Enfin bref, le passé. :)

    Après coup, je me dis quand même que je n'ai peut-être rien raté, parce que ses mecs ne m'auront pas aborder eux non plus. Alors soit ils sont comme moi et ils n'abordent pas, soit ils ne sont pas vraiment intéressés. Je ne le saurais jamais. :(
  • Je vais pas être original. Jamais de la vie. Pour les mêmes raisons que Sikander et Hakim : tu sais pas sur qui tu tombes. La vie c'est pas un porno où le monde entier est gay 😄 Dans Queer as Folk déjà je trouvais très surprenant le pourcentage de gays qu'ils croisaient.
  • Aborder un inconnu dans la rue parce qu'il me plaît physiquement, ça me semble inenvisageable. Avec le combo timidité + manque de confiance en soi (l'un va avec l'autre, me diriez-vous), si quelqu'un me dévisage je me demanderais plutôt si j'ai pas quelque chose coincé entre les dents @onion16@
    Et puis en étant gay on a encore plus de chances de se planter, c'est pas parce qu'un mec te fait un sourire qu'il est forcément de la même orientation que toi. D'ailleurs, et je fais peut-être un peu de HS, je trouve que les gays sont moins identifiables qu'avant, pas mal d'hétéros ayant "emprunté" le style qu'on associait auparavant à notre communauté (qui n'est bien sûr pas non plus celui de tous les gays). Reste le cas particulier du gars que t'as déjà aperçu sur les sites de rencontre et que tu croises par hasard en vrai, mais là c'est une autre histoire...
    Je salue en tout cas le courage de ceux qui osent le faire !
  • Alors ce que je vais dire va retomber sur les mêmes avis que vous!

    De premier abord, je trouve ça assez compliqué d'aborder quelqu'un en rue. Je pense que c'est déjà plutôt réservé à des grandes villes, où la mentalité peut être plus "open" que dans une petite ville ou village où j'ai tendance à penser que les mentalités n'ont pas encore autant évolué (cfr l'avis de Mominou).

    Après, si je vivais à Paris, je pense que ça dépendrait aussi d'où je me trouve! Si je me trouvais dans le marais par exemple, j'aurais tendance à agir différemment, peut-être, en me disant qu'il y a plus d'homos! Mais je ne fais qu'imaginer, n'ayant jamais été dans cette situation!

    Sinon le coup de la carte de visite, très mignon Sikander :)

    Comme certains d'entre vous, le manque de confiance est aussi compliqué à surmonter (d'autant plus pour un ancien gros, comme moi). En plus j'ai du mal à détecter si quelqu'un me marque de l'intérêt. En tout cas si un mec me plait, il devrait le remarquer, car je vais le regarder dans les yeux, puis éviter son regard sinon je vais sourire instantanément :)

    Alors des quelques fois où je suis venu sur Paris, j'ai eu 2 expériences assez marrantes.
    En rue, je croise une fois un gars qui me semble mignon, je le regarde au loin et remarque qu'il fait pareil. Puis gêné je regarde ailleurs. En arrivant à ses côtés, je le regarde dans les yeux et là je vois qu'il fait pareil et me fixe!
    Et une autre fois, pareil, mais dans une salle de spectacle, le gars que je regarde et je vois qu'il fait pareil. Puis je me rends compte qu'il était avec sa copine visiblement! Pourtant j'avais l'impression qu'il me regardait comme je le faisais également, pareil quand on est sorti en rue!
    Et enfin, quand j'ai rencontré mon compagnon, on ne peut pas dire qu'on ait eu des regards très explicites car on est d'un naturel timide! Je n'étais pas sûr de l'intéresser plus que ça après notre première rencontre, mais en fin de journée je me suis retourné quelques mètres plus loin et j'ai remarqué qu'il venait de faire pareil. Mais rien ne se voyait au regard!

    Ca m'a appris qu'au final, c'est vraiment très compliqué de détecter au regard! (sauf s'il te regarde droit dans les yeux avec un grand sourire, ce qui est très agréable et explicite, hahaha).
    Et sans ça, c'est dur d'oser aborder quelqu'un en rue!
    J'en déduis qu'on a tendance à imaginer qu'une personne va réagir comme on le ferait soi-même, et que ça peut être trompeur!
    Il faut donc savoir prendre le risque et tenter sa chance!
  • Aborder un inconnu dans la rue comporte des risques mais est-ce qu’ils ne valent pas la peine d’être pris ? Est-ce que le jeu n’en vaut pas la chandelle ?

    Je comprends la peur de recevoir une réaction négative d’un mec hétéro qui se sentirait ‘pris au piège’ par une telle initiative. Néanmoins, je trouve ça absolument nul qu’on doive craindre de se faire insulter ou pire tabasser alors que l’on prend son courage à 2 mains pour dire à quelqu’un qu’il nous plaît. Dans un monde idéal, ça ne devrait pas arriver :) Si le simple regard ne suffit pas à déterminer l’orientation sexuelle de la personne, on peut être quasiment certain en revanche qu’un regard associé à un sourire le permettrait. On peut déjà s’affranchir de la peur n°1 ✓ Check !

    Je pense qu’il y a aussi quelque chose de culturel là-derrière. En vivant dans des pays anglophones (Irlande, Etat de Californie), je me suis aperçu que le contact avec un inconnu était souvent moins perçu comme une entrée en zone interdite.

    @Mominou : c’est vrai qu’il y a forcément moins d’interactions avec d’autres mecs gays en dehors des grandes villes et je comprends ta réticence...mais avant les sites de rencontres, comment faisaient les gens ?! ;)

    Certaines personnes qui me connaissent auront peut-être du mal à le croire mais je suis un ancien grand timide et lorsque mes vieux démons ressurgissent, il me revient toujours cette citation de Nora Roberts qui dit :
    “If you don't go after what you want, you'll never have it. If you don't ask, the answer is always no. If you don't step forward, you're always in the same place.”
    J’espère que cette phrase vous aidera vous aussi autant qu’elle m’a aidé dans plusieurs situations.
  • Faut dire aussi qu'avec ce qu'on voit dans les médias sur les agressions homophobes, etc... Ça n'aide vraiment pas à se sentir en confiance. Je sais pas si vous avez entendu parler du journaliste gay maghrébin violé et séquestré pendant près de 48h par deux homophobes, y a deux/trois jours. Ça a commencé par une simple rencontre avec l'un d'eux dans un bar LGBT alors sur quoi on pourrait tomber dans la rue quoi. Y a de quoi se sentir mal à l'aise avec ça. C'est risqué partout bien-sur mais là peut-être plus qu'ailleurs, je pense.
  • Première raison de ne pas le faire : timidité ou manque de confiance. je vais aller lui parler et alors ? on va se dire quoi ? Salut t'es mignon on va boire un verre et on s'aime ? lol

    Deuxième raison : ok on se matte depuis une demie heure dans le métro et j'avoue il est hyper charmant... mais ça m'arrive de mater un mec parce que je le trouve ridicule ou juste parce qu'il a un truc qui me gène genre une mèche rebelle que j'ai envie de recoiffer (non je ne suis pas maniaque) du coup ça se trouve il me mate parce que je le mate mais en fait il s'en fou (bonjour j'ai des problèmes et j'assume)

    Troisième raison : ya du monde autour, et touuuut le monde va entendre le monumental râteau que je vais prendre ! :)

    quatrième raison : je mate pas... ou très peu et puis je ne sais pas décoder les codes. si le mec ne me fais pas comprendre clairement que je l’intéresse bah je ne le vois pas...

    bref c'est loin d'être envisageable pour moi lol
  • @GDNR : Honnêtement je ne sais pas comment faisaient les gens avant le net... J'imagine qu'ils utilisaient le minitel, et j'imagine aussi que les gays migraient davantage dans les grandes villes où on pouvait trouver des bars, des quartiers, des événements où le % de chances de rencontrer des LGBT était plus élevé ? Certains devaient certainement aborder une personne dans un espace public et c'est tout à leur honneur, c'est toujours super que des personnes osent franchir le pas.
  • Pour ma part, je n'ai jamais eu le courage d'aborder quelqu'un dans la rue, même si je le trouve mignon ou autre chose... La timidité et le manque de confiance en moi me bloque complètement haha. J'admire ceux qui y arrivent, vraiment ! Et après, je ne sais pas comment je pourrais m'y prendre pour aborder quelqu'un, je m'imagine pas vraiment arriver et dire "Hey t'es mignon, ça te dirait qu'on aille se boire un verre ensemble ? " haha.
  • GDNR wrote: 13 Mar 2017, 00:34 Je pense qu’il y a aussi quelque chose de culturel là-derrière. En vivant dans des pays anglophones (Irlande, Etat de Californie), je me suis aperçu que le contact avec un inconnu était souvent moins perçu comme une entrée en zone interdite.
    Ah mais grave ! :o
    Au delà du focus "aborder romantiquement", le simple fait d'aborder un inconnu, n'importe qui, me met mal à l'aise. (et pour être honnête, pas que les inconnus, ça s'étend aux collègues, aux membres de ma famille, aux connaissances...)
    Parce que quand quelqu'un m'aborde moi, ma toute première réaction instinctive, même si ce n'est qu'une fraction de seconde, c'est "oh non"
    Je perçois les gens autour de moi a priori comme indésirables.
    Pas seulement dans l'espace public d'ailleurs @onion9@

    Je me comporte bien hein, ça ne se voit pas forcément sur mon visage (ou pas longtemps...) et je souris et je dis bonjour, et je réponds aux requêtes et aux questions avec bonne volonté, je ne souhaite pas du mal aux autres humains.
    Mais du coup, perso je déteste l'idée d'aborder quelqu'un ou d'engager la conversation avec n'importe qui, justement parce qu'à la place du potentiel interlocuteur, ça me fait un peu chier.
    C'est ce concept d'entrée en zone interdite qui me parle vraiment.
  • Il me semble que nous avions du aborder un peu ce type de thème de manière transverse dans un autre topic (?)

    Je vous rebalance mon anecdote car je suis en ménage (lol) depuis quelques années.

    Donc j'arrivais fraîchement sur Paris avec une valise sous le bras, quoi de plus enrichissant pour moi que de pouvoir rencontrer un garçon intéressant.

    Le temps des appli n'existait pas (eh oui) et mmh c'était l'époque de euu je ne me rappelle même plus de ce site de rencontre qui d'ailleurs a changé de dénomination et où les photos X sur profils soft étaient légion oxo''

    Donc j'avais eu une mut de par mon ex ex employeur, et il y avait un collègue (qui portait d'ailleurs le même prénom que moi, non non pas du tout DESTINY !) qui m'intéressait (bien qu'il ne fut pas d'origine asiatique d'ailleurs... Ahh ce bon vieux temps...)

    Nos échanges professionnels étaient sporadiques, on s'echangeait des sourires, j'admirais ses cheveux mi-longs et sa mèche bien peignée, bref rien de transcendant.

    De retour à ma colocation mes collocs me disaient pourquoi tu t'evertues à chercher sur internet alors qu'on a croisé sûrement un gars mignon sûrement gay à ton taf. (mes colocs étaient heteros)

    Ils me l'ont décrit et il s'agissait du fameux même garçon.

    Je me suis dit que si des amis hetero avaient eu une sorte de radar également c'est que je pouvais sûrement me lancer.

    Quelques jours après je lui laissais une note écrite indiquant mon numéro et que s'il souhaitait prendre un verre ce serait avec plaisir.

    Le soir même mon téléphone sonne, comme à mon habitude si je ne connais pas le numéro je laisse le répondeur. Ma coloc me fait genre un mode fan girlissime "c'est sur c'est lui ça sent bon"

    Alors ils ont eu raison sur un point, ce fut bien ce même garçon qui m'indiquait avoir bien compris mon message mais qu'il était "un peu hetero" et bref genre "no harm done"

    Je suis parti m'enterrer sous mes coussins !

    Je ne vous parle pas des jours qui ont suivi dont une longue montée en ascenseur en tête à tête avec lui...

    Mais selon mon radar je pense quand même qu'il ait pu s'agir de quelqu'un de non encore assumé, de par nos échanges verbaux et sa gestuelle.

    Bref internet m'a sauvé, pas de quiproquo afin de trouver ma moitié <3
  • Je pense que c'est un peu comme "le 1er rdv" après une +/- brève introduction via un profil en ligne : idéalement, 'faut avoir un 'objectif' à la prise de contact. C'est pas tant "aborder un inconnu qui [nous] plait", mais "aborder l'inconnu" au sens large qui importe. Bien sûr que l'impulsion de départ n'est basée que sur du physique, mais on ne communique pas avec un physique, on le bouffe du regard, et l'appréciation esthétique peut s'en arrêter là ! xD

    Du coup, le physique n'est plus véritablement dans l'équation quand on en est à l'étape "adresser la parole". Pour ce qui est de "aborder un(e) inconnu(e)", forcément, c'est mieux d'avoir un début d'idée de conversation à tenir, se baser sur un contexte commun par exemple ! Après tout, si vous êtes tous les deux dans un même lieux, il y a forcément des circonstances qui font partager des goûts / expériences etc.

    BREF, pour revenir au questionnement d'origine, nope, je ne forcerai pas une prise de contact uniquement basée sur un attrait physique. En revanche, si un contexte propice s'y prête, je pourrais de temps à autre trouver un prétexte pour engager une conversation, et... qui sait ?
  • @Bjorkio : C’est vrai que ce qui nous séduit la plupart du temps chez un parfait inconnu que l’on croise dans la rue, c’est uniquement son apparence physique. C’est peut-être un peu aventureux que de baser son attirance pour quelqu’un simplement sur ça. Quoiqu’il y a aussi la tenue, la posture, etc ;)

    Quand tu y réfléchis bien, les profils des mecs sur les apps ne t’en apprennent pas bien plus que dans la rue lol. Des photos (parfois douteuses)…de temps en temps, 2-3 mots jetés à la volée. La seule certitude que tu as finalement avec les apps c’est que ton interlocuteur soit gay/bi.

    @Lake : Très courageux de ta part. C’est super que tu aies osé faire le premier pas ! *clap clap* :) Ça dépassait la pure attraction physique puisque vous vous côtoyiez régulièrement au travail. Ça me fait penser à un truc… L’an dernier, un collègue de travail (qui d’ailleurs avait aussi participé à mon recrutement, haha) m’a filé son numéro et m’a invité à aller boire un verre. Même s’il s’est avéré que j’ai préféré ne pas aller plus loin, j’ai trouvé ça top @onion20@

    Je pense que je vais tenter un de ces 4 ! Au pire, ça me fera une histoire drôle de plus à raconter à mes amis #HarryPotter #Riddikulus
  • Bien sûr GDNR que le jeu en vaut la chandelle mais que c'est dur!
    Et c'est vrai que ça revient à tenter sa chance uniquement par rapport au physique de quelqu'un... Il faudrait déjà qu'il soit gay, puis qu'il soit sympa, intéressant, etc, et bien sûr intéressé. Donc je pense que le pourcentage de réussite doit être infime.

    Donc je pense comme d'autres que ça serait plus facile si une situation est propice à cela! Tu vois un mec mignon qui attend dans la même file que toi pour entrer dans une salle de spectacle, et tu saisis l'occasion pour discuter en trouvant comme excuse ce fameux spectacle, par exemple! Tu as l'occasion de briser la glace et voir comment le gars se comporte...
  • Je pourrais jamais, même avec le plus grand des courages, aller aborder quelqu'un dans la rue. Je trouverais ça trop bizarre, surtout que je ne saurrais pas du tout quoi dire, même si j'ai un contexte qui pourrais favoriser le dialogue, j'en serais incapable. Je suis très nul pour les conversations, c'est un de mes défaults.
    C'est surement ma timidité qui fais ça, mais je me sens pas hyper à l'aide non plus de base quand je parle à des inconnus, je suis tout le temps en train de me demander ce que la personne pense de moi, si elle me trouve débile, bizarre, etc... Et j'arrive pas à me débarasser de ces pensés ^^'