Celle-ci est pas mal et même imprevisible . En tout cas je me suis fait avoir.
Elle s'appelle BDSM .
Cela faisait quelques années que j'étais en couple avec Marc. Au début, quand on s'est installés ensemble après 2 ans de relation, c'était vraiment bien. On avait les mêmes centres d’intérêt, ce qui aide beaucoup dans un couple. On vivait notre vie à cent à l'heure, on jouait ensemble aux jeux vidéos, on s'écrivait des mots d'amour, on se disait des "je t'aime" tous les jours, on s'envoyait en l'air tous les soirs ! C'était vraiment une époque formidable, puis est venue la routine; les "je t'aime" se sont transformés en "tu as acheté du pain ?", on jouait de notre côté, il passait ses soirées sur son ordinateur pendant que je regardais la télé toute seule. Même au niveau du sexe, on est passé d'une relation tous les jours à une par semaine. Et encore, c'était pas génial : il n'y avait plus d'envie, plus de passion. Notre couple battait de l'aile, alors j'ai pensé à quelque chose pour pimenter nos ébats sexuels : rien de tel que de retrouver notre fougue au lit pour donner un coup de fouet à notre relation.
Cette idée m'est venue après avoir vu un film au cinéma. Beaucoup de femmes ont dû avoir la même idée en le voyant à vrai dire, je veux parler de "50 nuances de Grey". Vous connaissez sûrement ce film, mais si je devais vous le résumer en quelques mots ça serait Bondage et Discipline, Domination et Soumission, Sadisme et Masochisme (BDSM). Généralement on parle de Sadomasochisme.
Donc, j'ai proposé l'idée à Marc qui a plusieurs fois décliné mon offre avant de finalement accepter pour "tester" si ça pouvait lui plaire. Il faut dire que c’était une vraie chochotte alors l'idée de recevoir des coups de cravache ne lui plaisait pas trop.
On a donc fait une session d’essai, on a pas voulu faire trop hard dès le départ alors on a juste essayé de se donner des fessées pendant les ébats, des coups de fouets par là, des insultes par ici. Rien de bien méchant, mais, contrairement à toute attente, il avait adoré. Je ne l'avais jamais vu aussi excité que cette nuit-là.
L'essai étant concluant, nous avons continué cette pratique mais de plus en plus hardcore : les coups de cravache, les combinaisons en latex, la cire chaude sur le corps, les cordes... on a tout essayé. On a même essayé la strangulation érotique mais malgré les résultats je vous le déconseille vivement, c'est très dangereux. Si vous ne me croyez pas, recherchez sur Google ce qui est arrivé à David Carradine, l'acteur qui jouait Bill dans « Kill Bill », allez-y.
Bref, cela avait vraiment ravivé notre couple, la routine avait disparue et on s'était même surpris à nous dire des "je t'aime" comme avant : c'était reparti de plus belle.
Mais niveau sexuel, on continuait de chercher de nouvelles choses à faire. C'est là que je lui ai proposé un nouveau jeu : simuler un enlèvement. Je lui ai dit que ça m’exciterait terriblement de me faire enlever et qu'on pourrait mettre ça en scène.
Il avait formidablement joué son rôle de kidnappeur : un soir, alors que je rentrais du boulot, quelqu'un m'a attrapée et m'a mis la main sur la bouche avec un couteau sous la gorge. Il m'a ensuite emmenée vers sa voiture et m'a enfermée dans le coffre de celle-ci. Je pensais bien qu'il s'agissait de Marc mais je n'avais aucun moyen d'en être sûre et je n'avais jamais vu cette voiture avant. L'idée que ce soit un vrai enlèvement m'avait traversé l'esprit, et je vous avoue que ça m'avait drôlement excitée.
Après quelques dizaines de minutes bâillonnée dans le coffre, j'ai été soulagée de voir qu'on était dans le garage de notre maison en sortant de la voiture. Marc avait ouvert le coffre, tout sourire. Il était même allé jusqu'à louer une voiture pour pousser le jeu à l’extrême ! Mais ça avait marché : l'excitation était bien réelle et plus intense que jamais.
Il a recommencé ce jeu deux ou trois fois avant que je lui propose d'inverser les rôles. Il était dubitatif quant à ma capacité à le kidnapper, mais il n'attendait que ça.
Du coup, un soir, je l'ai attendu à la sortie de son travail, et comme je ne suis pas assez forte pour le maîtriser, je l'ai assommé à l'aide d'une matraque qu'on utilisait pour nos jeux coquins. C'était assez violent mais moi aussi j'aime pousser le réalisme jusqu'à l’extrême. Je l'ai ensuite traîné jusqu'à la voiture que j'avais également louée. Il était de nouveau conscient au moment où j'ai refermé le coffre, il souriait d’extase et on voyait même qu'il était en train d’apprécier ce moment, au vu de la bosse au niveau de son entrejambe.
S'il avait su...
J'ai roulé pendant quelques heures en direction d'un grand parc dans le département voisin. Il commençait à faire nuit alors je me suis dépêchée pendant qu'on pouvait encore y voir quelque chose. Une fois dans le parc, j'ai garé ma voiture dans un coin perdu de celui-ci où j'avais creusé deux grands trous la veille.
Une pour Marc, et une pour la pute qu'il baisait depuis six mois. Six mois à jouer le jeu, six mois à prétendre que j'aimais me faire fouetter pendant le sexe, six mois pour préparer ce moment.
Il ne se séparait jamais de son téléphone, il pensait être à l'abri. Mais ce qu'il ignorait, c'est que son historique de sites visités apparaissait sur chaque appareil lié à son compte Google. C'est sur notre ordinateur que j'ai pu découvrir sa liaison via un site de rencontre. Il ne me fallait plus que trouver son mot de passe, ce qui était chose facile vu qu'il utilisait le même partout. À partir de là, il me fallait un plan pour qu'il se laisse faire et qu'il se laisse mener tout droit dans sa tombe, sans rien dire.
Lui qui était toujours en quête de sensations fortes, j’espère bien que le fait d'être enterré vivant l'a fait bander."
Les Creepypasta
Outch, brrrr celle la elle est vraiment creepy , aark ! je suis pas claustro mais j'aimerai pas etre a la place du mec
Celle-ci je me suis fait avoir ! Je n'ai pas vu venir la chute ! Franchement tres bien ecrite :
"Souviens-toi bien, je ne veux pas que tu lui parles quand je ne suis pas dans les parages.
- Oui, papa.
- Je suis sérieux. Maintenant, rentre ton tee-shirt dans ton pantalon, il est là."
La porte d’entrée s’ouvrit et l’oncle Tommy resta planté là, trempé de sueur après une journée de travail sous la chaleur torride que nous offrait cet été.
"C'est une vrai fournaise, par ici, n'est-ce pas ? Dit-il, mettant son sac sur le sol et défaisant ses bottes. Je te remercie de me laisser rester ici cette nuit.
- Tant que tu es parti à l'aube, répondit froidement mon père.
- Bien sûr"
"Maintenant, dit oncle Tommy en se tournant vers moi et en se mettant à genoux. Viens dans mes bras. Ça fait un moment depuis la dernière fois que je t'ai vu."
J'ai fait quelques pas vers lui, puis me suis penché pour lui faire un câlin. Son étreinte serrée me rendait mal à l'aise, ce qui m'a fait échapper un léger gémissement.
"Ne vois tu pas que c'est la canicule dehors?" Demanda-t-il en tirant sur mes manches longues.
"Je n'ai pas été à l'extérieur aujourd'hui", lui ai-je répondu.
"N'as tu pas des corvées à finir?" Intervint papa.
J'ai vite compris que je devais partir, donc je me suis rendu dans ma chambre.
Plus tard dans la nuit, je me suis finalement couché. Je me suis retourné mille et une fois, incapable de me sentir à l'aise, quand j'ai entendu des bruit de pas dans le couloir à l'extérieur de ma chambre. Après plusieurs longues secondes de silence, la porte s'ouvrit doucement. La silhouette sombre d'un homme entra dans la pièce et la porte se referma. Pendant plusieurs secondes, il n'y eut plus qu'un silence sans fin. Sans le bruit de cette respiration haletante, j'aurais peut-être pensé que j'avais rêvé de tout ça.
Je pouvais le sentir se rapprocher. La chaleur d'une autre personne dans cette chambre était inhabituelle à cette heure là. Je n'étais pas préparé à cela et j'ai prié pour qu'il parte.
Il s'est penché et m'a touché. Il m'a roulé sur le ventre et a soulevé ma chemise. Du coin de l’œil, je pouvais voir deux choses: la faible lumière d’une lampe de poche et les yeux de l’oncle Tommy étudiant ma peau nue. Ses doigts rugueux glissaient le long de mon dos. Soudain, il se leva et marcha jusqu'à la porte de la chambre, puis partit. J'ai encore essayé de m'endormir, pour finalement réussir.
Il était parti au moment où je me suis réveillé.
Vers midi, le téléphone sonna pendant que mon père était sorti.
"Bonjour", ai-je dit.
- Salut mon gars.
- Oncle Tommy ?
- Yep. Ton père est dans le coin ?
- Non monsieur. Il est allé faire des courses.
- Bien, dit-il, semblant un peu nerveux. Il fit une courte pause, avant de reprendre. J'appelle pour la nuit dernière. Je ne sais pas si tu étais éveillé ou pas…
- Je l'étais.
- Et bien, cela me facilite la tâche, je vais aller droit au but. J'ai une question pour toi, et j'ai vraiment besoin que tu sois honnête avec moi. Tu peux faire ça pour moi ?
- Oui monsieur.
- Très bien, p'tit gars. Alors dit moi, d'ou viennent tous ces bleus sur ton corps? "
"Souviens-toi bien, je ne veux pas que tu lui parles quand je ne suis pas dans les parages.
- Oui, papa.
- Je suis sérieux. Maintenant, rentre ton tee-shirt dans ton pantalon, il est là."
La porte d’entrée s’ouvrit et l’oncle Tommy resta planté là, trempé de sueur après une journée de travail sous la chaleur torride que nous offrait cet été.
"C'est une vrai fournaise, par ici, n'est-ce pas ? Dit-il, mettant son sac sur le sol et défaisant ses bottes. Je te remercie de me laisser rester ici cette nuit.
- Tant que tu es parti à l'aube, répondit froidement mon père.
- Bien sûr"
"Maintenant, dit oncle Tommy en se tournant vers moi et en se mettant à genoux. Viens dans mes bras. Ça fait un moment depuis la dernière fois que je t'ai vu."
J'ai fait quelques pas vers lui, puis me suis penché pour lui faire un câlin. Son étreinte serrée me rendait mal à l'aise, ce qui m'a fait échapper un léger gémissement.
"Ne vois tu pas que c'est la canicule dehors?" Demanda-t-il en tirant sur mes manches longues.
"Je n'ai pas été à l'extérieur aujourd'hui", lui ai-je répondu.
"N'as tu pas des corvées à finir?" Intervint papa.
J'ai vite compris que je devais partir, donc je me suis rendu dans ma chambre.
Plus tard dans la nuit, je me suis finalement couché. Je me suis retourné mille et une fois, incapable de me sentir à l'aise, quand j'ai entendu des bruit de pas dans le couloir à l'extérieur de ma chambre. Après plusieurs longues secondes de silence, la porte s'ouvrit doucement. La silhouette sombre d'un homme entra dans la pièce et la porte se referma. Pendant plusieurs secondes, il n'y eut plus qu'un silence sans fin. Sans le bruit de cette respiration haletante, j'aurais peut-être pensé que j'avais rêvé de tout ça.
Je pouvais le sentir se rapprocher. La chaleur d'une autre personne dans cette chambre était inhabituelle à cette heure là. Je n'étais pas préparé à cela et j'ai prié pour qu'il parte.
Il s'est penché et m'a touché. Il m'a roulé sur le ventre et a soulevé ma chemise. Du coin de l’œil, je pouvais voir deux choses: la faible lumière d’une lampe de poche et les yeux de l’oncle Tommy étudiant ma peau nue. Ses doigts rugueux glissaient le long de mon dos. Soudain, il se leva et marcha jusqu'à la porte de la chambre, puis partit. J'ai encore essayé de m'endormir, pour finalement réussir.
Il était parti au moment où je me suis réveillé.
Vers midi, le téléphone sonna pendant que mon père était sorti.
"Bonjour", ai-je dit.
- Salut mon gars.
- Oncle Tommy ?
- Yep. Ton père est dans le coin ?
- Non monsieur. Il est allé faire des courses.
- Bien, dit-il, semblant un peu nerveux. Il fit une courte pause, avant de reprendre. J'appelle pour la nuit dernière. Je ne sais pas si tu étais éveillé ou pas…
- Je l'étais.
- Et bien, cela me facilite la tâche, je vais aller droit au but. J'ai une question pour toi, et j'ai vraiment besoin que tu sois honnête avec moi. Tu peux faire ça pour moi ?
- Oui monsieur.
- Très bien, p'tit gars. Alors dit moi, d'ou viennent tous ces bleus sur ton corps? "