Les Creepypasta

  • Outch, brrrr celle la elle est vraiment creepy , aark ! je suis pas claustro mais j'aimerai pas etre a la place du mec
  • Celle-ci je me suis fait avoir ! Je n'ai pas vu venir la chute ! Franchement tres bien ecrite :


    "Souviens-toi bien, je ne veux pas que tu lui parles quand je ne suis pas dans les parages.
    - Oui, papa.
    - Je suis sérieux. Maintenant, rentre ton tee-shirt dans ton pantalon, il est là."

    La porte d’entrée s’ouvrit et l’oncle Tommy resta planté là, trempé de sueur après une journée de travail sous la chaleur torride que nous offrait cet été.

    "C'est une vrai fournaise, par ici, n'est-ce pas ? Dit-il, mettant son sac sur le sol et défaisant ses bottes. Je te remercie de me laisser rester ici cette nuit.
    - Tant que tu es parti à l'aube, répondit froidement mon père.
    - Bien sûr"

    "Maintenant, dit oncle Tommy en se tournant vers moi et en se mettant à genoux. Viens dans mes bras. Ça fait un moment depuis la dernière fois que je t'ai vu."
    J'ai fait quelques pas vers lui, puis me suis penché pour lui faire un câlin. Son étreinte serrée me rendait mal à l'aise, ce qui m'a fait échapper un léger gémissement.

    "Ne vois tu pas que c'est la canicule dehors?" Demanda-t-il en tirant sur mes manches longues.
    "Je n'ai pas été à l'extérieur aujourd'hui", lui ai-je répondu.
    "N'as tu pas des corvées à finir?" Intervint papa.
    J'ai vite compris que je devais partir, donc je me suis rendu dans ma chambre.

    Plus tard dans la nuit, je me suis finalement couché. Je me suis retourné mille et une fois, incapable de me sentir à l'aise, quand j'ai entendu des bruit de pas dans le couloir à l'extérieur de ma chambre. Après plusieurs longues secondes de silence, la porte s'ouvrit doucement. La silhouette sombre d'un homme entra dans la pièce et la porte se referma. Pendant plusieurs secondes, il n'y eut plus qu'un silence sans fin. Sans le bruit de cette respiration haletante, j'aurais peut-être pensé que j'avais rêvé de tout ça.

    Je pouvais le sentir se rapprocher. La chaleur d'une autre personne dans cette chambre était inhabituelle à cette heure là. Je n'étais pas préparé à cela et j'ai prié pour qu'il parte.
    Il s'est penché et m'a touché. Il m'a roulé sur le ventre et a soulevé ma chemise. Du coin de l’œil, je pouvais voir deux choses: la faible lumière d’une lampe de poche et les yeux de l’oncle Tommy étudiant ma peau nue. Ses doigts rugueux glissaient le long de mon dos. Soudain, il se leva et marcha jusqu'à la porte de la chambre, puis partit. J'ai encore essayé de m'endormir, pour finalement réussir.
    Il était parti au moment où je me suis réveillé.

    Vers midi, le téléphone sonna pendant que mon père était sorti.
    "Bonjour", ai-je dit.
    - Salut mon gars.
    - Oncle Tommy ?
    - Yep. Ton père est dans le coin ?
    - Non monsieur. Il est allé faire des courses.
    - Bien, dit-il, semblant un peu nerveux. Il fit une courte pause, avant de reprendre. J'appelle pour la nuit dernière. Je ne sais pas si tu étais éveillé ou pas…
    - Je l'étais.
    - Et bien, cela me facilite la tâche, je vais aller droit au but. J'ai une question pour toi, et j'ai vraiment besoin que tu sois honnête avec moi. Tu peux faire ça pour moi ?
    - Oui monsieur.
    - Très bien, p'tit gars. Alors dit moi, d'ou viennent tous ces bleus sur ton corps? "