Résumé des parties de donjons et dragons

  • Okay c'est parti parto!
     
    Nom de naissance : Dimzad Manche
     
    Nom usuel : Dimanche
     
    Âge : 31 ans
     
    Race : Nain d'écu
     
    Classe : Prêtre
     
    Domaines : Guérison/Terre
     
    Signe distinctif : Nez de travers, Balafre sur l'oeil et la joue droite
     
     
               Dans une vallée au creux des montagnes, accessible uniquement par des galeries souterraines labyrinthiques seules connues des nains trônait le petit village de Durak. Village se suffisant à lui même, les sorties étaient rares et les visites aussi. Les seuls à s'aventurer hors de havre de paix étaient les guerriers formés pour veiller sur les entrées des galeries. Chacun vivait paisiblement, l'art de la guerre était aussi cultivé à Durak que le grain et le bétail. D'ailleurs, la tradition voulait que les hommes fassent leur entrée au camp d'initiation le soir de leur 25e anniversaire, rituel généralement accompagné d'une cérémonie joyeuse et qui emplissait les parents des-dits "futurs guerriers" de fierté. Aucun n'y échappa... Pas même Dimanche...
     
    Mais ce nain, plus préoccupé à tenir sa chope de bière et à faire de la psychologie de comptoir à la taverne qu'a tenir une épée n'était pas aussi prometteur que ses parents l'auraient voulu. Plus le temps passait, plus son avis sur l'avenir était clair : lui, il voulait prendre soin des autres. Il passait le plus clair de son temps dans l'église du village aux cotés du vieux père Nôröm qui lui inculqua secrètement toutes les ficelles de la Prêtrise. Lorsqu'il n'étaient pas ensemble, Dimanche aidait son père à travailler la terre afin de fournir la ville en grain. Et la supercherie continua ainsi... Jusqu'à ce que quelqu'un se rende compte que derrière l'église, Dimanche s’entraînait à lancer des sorts de guérison assisté par le Père Nôröm. La sentence fit suite presque immédiatement. Le père fut condamné à la peine capitale. Dimanche sentant le vent tourner en sa défaveur, décida de fuir discrètement, sur "ordre" du Père Nôröm. Ne voulant pas assister à l'execution de son mentor, il pris la fuite sans se retourner.
     
    Dimanche erra plusieurs heures dans les galeries, désorienté par son chagrin et sa rage et finit par trouver la sortie. La nuit était tombée et Dimanche marcha, marcha longuement jusqu'à arriver aux portes d'un village endormi. Épuisé lui aussi il s'écroula mort de fatigue sur un banc.
     
    Le lendemain, Dimanche, qui a le sommeil plutôt lourd, ne fut pas réveillé par le chant du coq, ni par le soleil qui réchauffait doucement sa peau rude de Nain d'Ecu... Il fut réveillé par un barde qui faisait quelques vocalises et qui accordait son instrument, et étonnamment, les sons produits par le barde firent s'envoler la légendaire mauvaise humeur matinale de Dimanche qui affichait un petit sourire. Chose étonnante surtout aux vues du drame qu'il avait vécu la veille. Il décida de s'avancer vers cet homme mystérieux et commença à se présenter. C'était un demi vampire du nom de Noah. Après quelques mots échangés, Dimanche se recula pour laisser le Barde entonné son chant. Il commença à chanter sa chanson, parlant des aventures d'un homme nommé Dudule. A peine le premier couplet entamé, une foule de badauds se regroupa autour du Barde pour lui lancer divers objets accompagnés de noms peu charmants.
     
    Dimanche sentit la fureur naine légendaire l'envahir et sauta dans la foule pour démarrer une bagarre plutôt musclée. C'est alors que deux hommes, arrivèrent en heros pour cesser l'affrontement. Le premier, un humain, moine fonça dans le tas armé de gants de feu, leva ses poings et... Frappa dans le vide en s'écroulant violemment sur le sol. Le deuxième, un tieffelin roublard décocha quelques flèches avec une extrème rapidité. or on aurait dit que les flèches étaient concues pour ne pas toucher ses cibles car aucune ne fit mouche! et allèrent se planter dans le sol, deux mètres devant les pieds du jeune infortuné.
     
    A ce moment, la foule s'arrêta immédiatement, réalisa ce qu'il venait de se passer, et explosa d'un rire commun et bruyant, destiné aux deux aventuriers peu fier. La foule se dispersa, toujours hilare et après avoir aidé son ami barde à se relever, ils s'approchèrent tout deux des deux anti héros venus à leur secours, ou presque...
     
    C'est ainsi que Dimanche rencontra sa troupe d'amis, qu'il espérait voir devenir sa famille, qu'il avait perdu en la personne du père Nôröm....
    Last edited by Nhii on 11 Jun 2014, 02:01, edited 1 time in total.
  • Voilà pour mon personnage.

     
    Nom: Jinuüga

     
    Réel nom: Jatasura

     
    Alignement: Chaotique/Neutre

     
    Âge: Inconnu

     
    Race: Rakshasa

     
    Niveau: Electromancien niveau 1

     
    Signe distinctif: Bah c'est un gros chat quoi
     
    Taille: Variable (1m79 dans sa forme réelle)
     
    Poids: Variable (environ 80 kilos dans sa forme réelle)
     
    Yeux: Variable (Mais vairons dans sa forme de base, vert/bleu)

     
    Caractéristiques: 
    Force: 14
    Dextérité: 14
    Constitution: 18
    Intelligence: 10
    Sagesse: 10
    Charisme: 16
     
    Oui, je suis beau, robuste, relativement fort et agile mais pas très malin et peu attentif :lol:
     
    Jinuüga, de son réel nom Jatasura est un rakshasa, terrible race du plan matériel primaire. Humanoïdes d'apparence féline, les rakshasas sont des métamorphes émérites et ne revêtent que très rarement leur forme réelle.

     

    Jatasura est né il y a quelques années, personne ne sait exactement combien car les Rakshasa étant immortels ils ne comptent pas les années, mais celui-ci ne dépasserait pas les cinquante ans, faisant de lui un rakshasa incroyablement jeune et inexpérimenté.

     

    Lors de sa croissance Jatasura développa une capacité innée à manier l'électricité, mais ce don pourtant pratique lui valu d'être raillé car avec son apparence féline, l'électricité qu'il manie lui fait hérisser ses poils et ressembler à un chaton ébouriffé. Humilié, il quitta son plan natal, tel un enfant boudeur et capricieux.

     

    Arrivé sur Faerun il fut confronté à la réalité... Sans argent et inadapté à la société humaine, il erra plusieurs jours dans les rues de Padhiver sous une forme humaine pour éviter d'attirer l'attention. Au moments ou il commençait à désespérer, il bouscula par erreur un passant qui s'avérait être un bandit de la coterie de Padhiver.

     

    L'homme s'en pris immédiatement à Jatasura, instinctivement, lorsque qu'il vu que son assaillant sortait une dague, il changea de forme dans une incroyable explosion électrique, tuant sur le coup son agresseur. D'autres bandits arrivèrent pour l'éliminer mais une voix au loin stoppa les assassins.

     

    "Ne le touchez pas! Il est à moi!"

    Le chef des brigand, un certain Vengaul se rapprocha de Jatasura et lui dit "J'ai vu ce que tu viens de faire, ne t'en fais pas pour Hoff, c'était un incapable, par contre toi, je t'ai bien vu changer de forme, on pourrait avoir besoin de toi tu sais, qu'en dis-tu?"

     

    Jatasura ne réfléchît même pas et accepta sur le champ.

    Surnommé "Jinuüga" par ses camarades en référence une puissante créature des archipels de l'orient pouvant manier la foudre, il devint en trois ans l'un des membre les plus importants de la coterie; et l'un des seuls à ne pas être référencé par la garde grâce à sa capacité à changer de forme. 

     

    Puis vint l'épidémie de mort hurlante, la ville est désormais en plein chaos la coterie perd sa mainmise et Jinuüga pense de plus en plus à disparaître maintenant que le vent tourne...

     

    Ps: Si un gentil dessinateur pourrait dessiner un tigre humanoïde pour que j'ai une image à mettre en bas de la bio je serai content :3

     

    En attendant je met une random image de Rakshasa :p
    Spoiler: [+]
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    Et l'image du Jinouga en annexe, la créature qui lui a valu son surnom:
     
    Spoiler: [+]
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    Last edited by Monsieur-Loutre on 14 Jun 2014, 13:10, edited 1 time in total.
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    Nom de Naissance : Suuriel El’Eleth

    Nom d’Usage : Suuriel

    Alignement : Loyal Neutre

    Age : Inconnu (éveillé depuis 426 ans)

    Race : Elfe Sauvage

    Classe : Druide

    Familier : Eliomet’h (Serpent venimeux)

    Signes Distinctifs : Une paire de Cornes, tatouages et scarifications dans le dos et aux poignets


     


     « Froid … C’est la première chose dont je me souviens. Tout avant n’étais que vide et oubli. Il faisait froid lorsque je me suis réveillé en sursaut sur le sol de cette forêt, prenant une violente bouffée d’air frais qui me déchira les poumons. La faible lueur du soleil transperçait les branches décharnées des arbres pour éclairer de sa morne lueur un sol tapissé du blanc de l’hiver. C’est sur ce lit glacial que je me redressais, quasiment nu, couvert d’un simple haillon en tulle. Ma peau était brulée par la neige et tuméfiée et mes muscles saisis par une douleur lancinante.


    C’est paniqué que je cherchais dans la forêt une aide providentielle. Je tombais alors sur un convoi de miliciens humains à plusieurs lieues de là, qui passaient sur une route longeant les bois. Seulement, perdu, j’ignorais que ce n’était là ni une aide, ni une rencontre issue de la providence. Avant que je puisse comprendre quoi que ce fût, les fers me furent passés au cou et aux poings et on me tira avec une chaine pendant plusieurs jours. Leur langue, leurs blasons, tout m’était étranger. Moi-même ne parlais aucun dialecte, seuls des grondements pouvaient s’échapper lorsque je tentais de questionner mes bourreaux.


    J’arrivais avec eux, les pieds en sang, dans une bourgade à flanc de montagne. Les foyers en chaume et les champs environnants laissaient penser à un village de fermiers, mais la large place marchande et le château me firent comprendre avec le temps que c’était un centre de marchandage. Et du temps, j’allais en avoir. La rencontre avec le seigneur local ne dura que quelques instants et je passa ensuite les mois suivant scruté par un groupement de mage, enfermé dans une cage ou torturé de diverses expériences. Je ne connaissais que la fatigue, la faim, la douleur et mon apprentissage de la langue ne se fit qu’à force d’écoute et d’observation lors de mes rares moments de repos conscient.


    On se questionnait visiblement sur ma nature. Selon eux, j’étais bien un elfe, mais les deux cornes qui s’échappaient de mon crâne les laissaient perplexes. Je compris que dans la région, les non-humains étaient chassés et vendus comme esclaves. Lorsqu’il fut observé que ma nature n’avait rien de particulière, on se servit de moi comme servant à cette sombre académie de recherche. Ma peau avait été marquée de runes et de scarifications, pour me maintenir en respect et bien signifier mon appartenance. Ma nature d’Elfe me rendait inférieur à eux et je me devais de le savoir.


    Ma condition d’esclave m’amena à réaliser les tâches ingrates ou dangereuses pour leurs expériences. J’assistais, impuissant, à leurs test sur des sujets aussi désespérés que je l’étais. Des années durant, je servis, contraint, à leurs pieds comme un vulgaire bâtard. Jusqu’à cette nuit sans lune. Dans ma cellule, j’observais la plaine désertique en cette fin d’automne venteuse. Des murmures me parvinrent alors, me tirant de ma torpeur et piquant ma curiosité. J’avais été fidélisé à mes maîtres lors de mes quelques rares tentatives de rébellion à coups de bâtons, électrochocs et fouet, et ma servitude m’avait valu un semblant de liberté. Ma prison n’étant donc pas fermée, je m’aventurais dans le laboratoire pour suivre la voix qui m’appelait. C’étaient des complaintes, des soupirs. Je reconnaissais mes pensées en ce flux délicat de paroles pourtant chaotiques. Mon enquête finie accroupis, en guenilles, devant le terrarium d’un animal terré sous une branche. Il se révéla à moi délicatement et avec fascination, je le regardais glisser vers moi et me regarder au travers de la vitre. Un serpent à la peau blanche et parsemé d’écailles nacrées, les yeux dorés. C’était lui l’auteur de ces palabres nocturnes. Je ne sais plus comment s’est engagée la conversation, mais sans que je ne m’en étonne, nous parlâmes des heures et des heures, des nuits durant. Il s’appelait El’Eleth. C’était le premier être qui partageait avec moi ses pensées et d’égal à égal et il me fit le présent d’un nom : Suuriel.


    Un jour vint, ou pour leurs obscurs travaux, mes maîtres décidèrent que le cobaye était assez mûr et que ses organes pouvaient être prélevés. En ce but, je trouvai mon ami éventré et gisant dans son sang et ses boyaux. Je ne sut jamais de quoi il retournait car le dernier souvenir que j’eut de cette époque froide et torturée, ce fut d’être debout, au-dessus des cadavres de mes anciens geôliers, égorgés et éventrés, le cœur de l’un d’eux dans la main, encore palpitant.


    Sans savoir comment, je me voyais fuir, suivant un instinct de survie qui ne m’avait encore jamais habité, et que je vis comme le cadeau de mon compagnon, dans son trépas. Je courrais à perte d’haleine et me réfugia dans les bois. Si je devais mourir, traqué ou chassé comme une bête, je le serais mais en tant qu’être libre. J’échappais aux milices qui me traquèrent durant des semaines, et m’éloignais de plus en plus de ce cruel marché.


    Les années passèrent et je trouvais ma place dans une forêt luxuriante, loin à l’est. C’est dans cette retraite salutaire que mon esprit s’apaisa petit à petit. Je vécu de chasse, de cueillette et de l’eau de la crique au cœur des bois. Je trouvais ma place dans cet équilibre. J’avais été traité comme un animal depuis mon éveil, c’est en animal que je me sentais désormais serein. Des décennies passèrent et la nature n’avait plus de secret pour moi. Je connu des générations de frères loups, ours, et autres habitants sylvestres et je gagnais leur respect en vivant comme l’un d’eux. Je comprenais leur langage, leurs coutumes, et j’appris à percevoir les voix des esprits qui habitaient l’air et les feuillages. J’avais souffert de la main de l’homme, je renaissais dans le berceau de ces bois.


    Mais après quatre siècles de paix, une troupe de chasseurs jeta à nouveau dans les flammes mon monde, guidés par une chasse au loup sanguinaire, et à la vue de mes marques et mes cornes, alors que je tentais de défendre l’un des miens, je retrouva les barreaux qui m’enferment à présent.


    Vois-tu, frère, je ne suis pas différent de toi. Je me tiens sur deux jambes et parle de la même voix, mais pour eux, je suis aussi étranger que tu l’es. Un simple fauve pour leur amusement. »


    D’un ton mélancolique, et dans de simples murmures imperceptibles, l’elfe, à bout de force, enchaîné et couvert de contusions, contait son histoire du fond de sa cage à celui qu’il voyait comme son premier ami. Le serpent, vert et hérissé, qui l’écoutait depuis le début, glissa le long de ses liens pour se blottir dans son cou.


    « Garde tes confidences pour le jour de ta mort mon ami, car celle-ci ne viendra pas à Padhiver. »
    Last edited by Pandore on 15 Jun 2014, 15:08, edited 1 time in total.
  • vous faites des jdrs!!!!!!! toppppppppp
    si ca se passe le we, je veux bien y participer, si y a une ti place pour iom. promis juré je prends pas bcp de place
    qui doit etre contacté?
     
    des bises
  • J'ai fait qu'une seule partie, et le MDJ était Kiora! Essaye de voir avec lui =)